J'ai pu discuter avec un ingénieur dynamique des fluides (PSA puis Airbus...) et pour l'histoire de la rugosité d'admission:
il m'a dis que le fait de polir les conduits d'amission est pire que mieux, il faut une boîte à air pour stabiliser en admission mais une fois passé les carbus ou l'injection, il faut que le mélange air/essence soit le plus turbulent possible (et donc surtout pas laminaire qui empêche le mélange) dans le but d'obtenir un mélange le plus homogène possible, si la richesse est dans des conditions stochiométriques, alors on gagne en rendement.
Moralité de l'histoire, Jeag a encore raison:
conduit d'admission à décalaminer et passage au sablage ou à un grain très grossier pour perturber le fluide entre la sortie des carburateurs et la soupapes d'admission.
Le meilleur mélange étant obtenu avec un effet de vortex donc par un turbine dans la conduite, mais trop délicat à réaliser.
La solution de perturber le fluide en entrée sur les cornets avec le vortex sera aussi pire que mieux, il faut le mettre APRES le mélange issue des carbus ou de l'injection.
Et pour l'échappement c'est l'inverse, il faut un régime laminaire, donc conduits les plus lisses possibles, éviter un diamètre démentiel qui fait pertre du couple et respecter une longueur de tube (calculable mais je n'ai pas les formules).